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Les « Essentiels »

« L’Essentiel » est un format de présentation qui synthétise en 4 pages les principaux enseignements des études de l'Hadopi. Retrouvez ci-dessous la liste des « Essentiels » réalisés :

Essentiel n°31

 

Une de couverture de l'Essentiel n°31

 

 

Les offres légales de musique, films, séries et logiciels restent les plus satisfaisantes selon les consommateurs

En 2021, l’Hadopi recense 424 services d’offre légale proposant des biens culturels en ligne. Les premières motivations à la consommation licite demeurent la volonté de se mettre en conformité avec la loi, le respect des créateurs et la peur des virus.
La satisfaction à l’égard des offres légales se situe au même niveau qu’en 2019, avec néanmoins des consommateurs qui se montrent plus exigeants. De plus, une forte disparité apparaît selon les offres, les offres par abonnement étant nettement mieux évaluées.

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Essentiel n°30

 

Une de couverture de l'Essentiel n°30

 

 

Les pratiques culturelles en ligne des internautes de 65 ans et plus ont augmenté de 8 points par rapport à l’avant-crise sanitaire et concernent 74 % d’entre eux

La culture, qu’elle soit physique ou dématérialisée, occupe une place centrale dans la vie des séniors. Les modes d’accès dématérialisés aux biens culturels ont largement été adoptés par les internautes de 65 ans et plus depuis plusieurs années et se sont renforcés avec la crise sanitaire, pour compenser la fermeture des lieux culturels et la perte de lien social.
À la recherche de sécurité et de confort, les séniors se tournent très largement vers les offres légales et s’abonnent davantage. 

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Essentiel n°29

Une de couverture de l'Essentiel n°29

 

La hausse des pratiques illicites régulières en 2021 confirme la réactivité des pratiques illicites aux changements de contexte de consommation

Encore fortement marquée par la crise sanitaire, l’année 2021 confirme les tendances observées en 2020 :
stabilisation à un niveau élevé du taux de consommation de biens culturels dématérialisés et progression du taux d’abonnement à des offres en ligne notamment.
Si la part d’internautes ayant des pratiques illicites reste stable au total, on constate cependant une augmentation de la consommation illicite de musique et surtout de retransmissions sportives, ainsi qu’une progression des profils illicites réguliers. En parallèle, se développent des pratiques alternatives, qui visent à accéder aux offres légales de manière détournée, par exemple en partageant des codes d’accès à une offre en dehors de son foyer, ou à contourner des mesures légales de lutte contre les pratiques illicites via le recours à un VPN ou à un DNS alternatif.

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Essentiel n°28

Lien vers l'Essentiel n°28 (nouvelle fenêtre)

 

63 % des structures privées et 45 % des administrations ont déjà mis en place au moins une mesure de sensibilisation pour prévenir les usages contrefaisants

Dans le cadre de sa mission de sensibilisation, l’Hadopi a mené, en début d’année 2021, une étude sur les pratiques des professionnels en matière de sécurisation de leur connexion Internet contre les risques informatiques, dont les pratiques de consommation illicites de biens culturels dématérialisés.
57 % des entreprises et 68 % des administrations estiment nécessaires de se protéger contre une utilisation illégale de leur accès internet à des fins de contrefaçon.
63 % des structures privées et 45 % des administrations ont mis en place au moins une mesure de sensibilisation contre les usages contrefaisants et près de la moitié des structures interrogées se savent concernées par la loi Hadopi.

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Essentiel n°27

Page de couverture de l'Essentiel (nouvelle fenêtre)

 

12,7 millions d'internautes ont visité en moyenne chaque mois des sites illicites de biens culturels dématérialisés en 2020, soit 24 % des internautes français

Le premier semestre 2020, marqué par le premier confinement strict, a engendré une forte augmentation de la consommation de biens culturels dématérialisés avec près de neuf internautes sur dix (89 %) qui se sont déclarés consommateurs de ces biens en avril 2020, contre 81 % en mai 2019.
Cette augmentation de la consommation de biens culturels en ligne s’est accompagnée d’une hausse de la fréquentation des sites illicites avec un pic en mars 2020 de 14,2 millions de consommateurs, soit 27 % des internautes.

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Essentiel n°26

Page de couverture de l'Essentiel (nouvelle fenêtre)

 

La multiplication des services de vidéo à la demande par abonnement : stratégies de développement et impact sur les usages

Pour leur troisième collaboration, le CSA et l’Hadopi, en association avec l’Arcep, l’Autorité de la concurrence et le CNC, ont ainsi choisi de s’intéresser aux effets de la multiplication des offres de vidéo à la demande par abonnement (VàDA), et plus généralement des offres audiovisuelles payantes, sur les stratégies des acteurs et le comportement des consommateurs. Ceux-ci soulèvent en effet des enjeux économiques, culturels et sociétaux au cœur des préoccupations de l'Hadopi et du CSA : le maintien d’un certain équilibre économique entre services de VàDA et acteurs historiques de l’audiovisuel, la valorisation de la production locale, la promotion de la diversité de l’offre et le développement de l’offre légale et d’usages respectueux du droit d’auteur

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Essentiel n°25

 

Baromètre de la consommation de biens culturels dématérialisés 2020

Dans le cadre de sa mission légale d’observation des usages licites et illicites des biens culturels dématérialisés, l’Hadopi a mis en place depuis 2011 un baromètre de consommation des biens culturels dématérialisés. Il mesure les usages culturels en ligne de neuf biens culturels : musique, films, séries, photos, jeux vidéo, logiciels et livres numériques, auxquels s’ajoutent depuis 2019 la presse en ligne et les retransmissions sportives.

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Essentiel n°24

Essentiel 24 - Piratage audiovisuel et sportif

 

Piratage audiovisuel et sportif: un manque à gagner d'un milliard d'euros en 2019

Bien qu’en baisse tendancielle grâce à l’action des pouvoirs publics conjuguée à celle des ayants droit, le piratage concerne néanmoins encore plus de 11 millions d’internautes chaque mois. Si certaines pratiques de piratage - le pair à pair en particulier - ont drastiquement diminué, d’autres, comme le streaming et le téléchargement direct, se maintiennent à des niveaux élevés, tandis que de nouvelles pratiques, comme l’IPTV illicite et le live streaming, connaissent une progression notable.

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Essentiel n°23

Essentiel 23 - Baromètre de l'offre légale

 

Baromètre de l'offre légale 2019 : 87% des consommateurs satisfaits par les services d'offre légale

Au titre de sa mission d'observation des usages sur internet, l’Hadopi mesure et analyse depuis 2011 la consommation des biens culturels dématérialisés et leur perception par les internautes. Le Baromètre de l'offre légale évalue la satisfaction des consommateurs à l’égard des offres légales. Cette nouvelle édition prend en compte neuf catégories de contenus numériques : musique, films, séries, photos, jeux vidéo, logiciels, livres numériques, contenus de presse en ligne et retransmissions d’événements sportifs en direct.

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Essentiel n°22

Essentiel 22 - Musique

 

Le rôle central des plateformes de streaming musical dans l'accès et la découverte de la musique : 82% de leurs utilisateurs ont recours à leurs outils de recommandation

L'écoute de musique est une pratique culturelle désormais très ancrée dans la vie des Français : 90% déclarent en écouter, dont 49% de manière quotidienne. Cette écoute passe en priorité par Internet avec 83% d'amateurs de musique qui procèdent à son écoute en ligne, contre 78% ayant recours à d'autres modes d'accès physiques (CD, disques vinyles, radio, etc...).

Cette étude a été conduite en deux phases, qualitative et quantitative, entre septembre et décembre 2019.

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Essentiel n°21

Essentiel 21 - Etude Linkstorm 2.0

 

Le référencement de l'offre légale sur les moteurs de recherche. Etude Linkstorm 2.0

Dans le cadre de sa mission d'encouragement au développement de l'offre légale, L'Hadopi a évalué la visibilité de l'offre légale des films dans les moteurs de recherche  en actualisant une étude précédemment publiée en 2013.

Cette nouvelle étude a été réalisée en deux temps : une étude quantitative a d'abord permis d'identifier les mots clés utilisés sur les moteurs de recherche par les internautes lorsqu'ils souhaitent trouver un film, puis les combinaisons issues de l'association entre les différents mots-clés et les films ont été testées pour le recherche de plusieurs films.

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Essentiel n°20

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Rapport CSPLA / Hadopi / CNC : Vers une application effective du droit d’auteur sur les plateformes numériques de partage : Etat de l'art et propositions sur les outils de reconnaissance des contenus

L’article 17 de la directive européenne sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique devrait donner une portée renforcée aux outils de reconnaissance de contenus déjà mis en place par les plateformes, en les transformant en dispositifs prévus et encadrés par le droit.

Dans ce contexte, le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), le Centre du cinéma et de l’image animée (CNC) et l’Hadopi se sont associés pour mener une mission conjointe, visant notamment à réaliser un état de l’art des technologies existantes en la matière et à évaluer leur efficacité.

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Essentiel n°19

Lien vers l'Essentiel n°19  

La diffusion du sport sur Internet : un marché et des usages en développement - Etude conjointe menée par le CSA et L'Hadopi

Le CSA et l’Hadopi se sont associés pour mener une réflexion commune sur le développement des offres de contenus sportifs audiovisuels en ligne (OTT – over the top), qu’il s’agisse de retransmissions sportives, de programmes autour de ces retransmissions (brefs extraits, résumés, temps forts, etc.), d’information sportive, ou encore de séries et documentaires traitant du sport. Cette démarche s’est notamment appuyée sur un large cycle de rencontres de professionnels mais aussi sur une étude quantitative confiée à l’Ifop.

Dans cette étude, l’offre disponible en France et à l’étranger et les modèles économiques et les stratégies mises en œuvre par les acteurs sont analysés au regard des comportements et du profil des utilisateurs. L’objectif de l’étude est triple : évaluer la proximité de ces offres OTT avec celles des chaînes de télévision, anticiper les perspectives de développement de ce marché, et estimer l’impact de l’émergence de ces offres sur le piratage.

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Essentiel n°18

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Baromètre de la consommation de biens culturels dématérialisés 2019 : une  consommation légale payante en hausse et des pratiques illicites en recul

Dès 2011, l’Hadopi a mis en place un baromètre de la consommation de biens culturels dématérialisés, mesurant les usages culturels en ligne de sept biens culturels : musique, films, séries, photos, jeux vidéo, logiciels et livres numériques. L'édition 2019 voit s’élargir le périmètre d’observation avec l’ajout de la presse en ligne et des retransmissions d’événements sportifs. On observe plusieurs signaux positifs concernant les pratiques culturelles en ligne en faveur de l’offre légale, avec un recul de la consommation illicite au profit de pratiques uniquement légales et une propension à payer en hausse, encouragée par des offres d’abonnement de plus en plus attractives. Cette nouvelle édition montre aussi une certaine forme de renouvellement des pratiques illicites, qui appelle à un maintien de la vigilance à leur encontre.

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Essentiel n°17

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16 % des internautes utilisent régulièrement les réseaux sociaux pour accéder à des contenus audiovisuels et sportifs de manière illicite

Les réseaux sociaux et les plateformes de partage de contenus sont utilisés régulièrement par 16 % des internautes pour accéder à des contenus audiovisuels et sportifs de manière illégale, que ce soit directement sur les plateformes elles-mêmes ou à partir de liens vers des sites illicites accessibles via ces réseaux. YouTube et Facebook et, dans une moindre mesure, Twitter sont les plateformes sociales les plus concernées par ces pratiques. Les interfaces agréables et faciles d’utilisation de ces plateformes donnent une apparence de licéité à ces contenus, ce qui séduit des internautes particulièrement jeunes et habitués à utiliser ces plateformes comme porte d’entrée unique vers Internet.

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Essentiel n°16

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Avec 1h13 de consommation quotidienne, en moyenne, les contenus culturels occupent les trois quarts du temps passé en ligne par les internautes

L’accès aux biens culturels dématérialisés représenteen moyenne 8h28 par semaine (soit 1h13quotidienne), à comparer aux 11h20 hebdomadairespassées par les Français sur Internet en général(1h37 par jour). Totalisant 75 % du temps passé surInternet, l’accès à la culture en ligne s’inscrit dans lequotidien des internautes et, plus que jamais, Internetapparaît comme une formidable porte d’entrée ouvertesur les oeuvres culturelles.

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Essentiel n°15

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La consommation illicite de programmes TV en direct concerne déjà un quart des internautes

L’accès illicite aux programmes télévisés en direct est pratiqué par environ un quart des internautes de 15 ans et plus. On distingue trois modes d’accès illicites principaux : le plus répandu et le plus ancien est le live streaming d’événements sportifs via des sites dédiés qui touche 17 % des internautes ; l’accès aux programmes diffusés en live sur les réseaux sociaux par les utilisateurs qui concerne 14 % des internautes ; enfin, apparue plus récemment, l’IPTV illicite via des logiciels et applications spécifiques, intégrés ou non à un boîtier à brancher sur le téléviseur, à laquelle ont actuellement recours 5 % des internautes. Ces services illicites exposent leurs utilisateurs à des risques réels : virus, malwares, publicités intempestives ou piratage de leurs données bancaires. L’IPTV illicite présente également un risque élevé de cannibalisation pour l’offre légale : 54 % de ses utilisateurs se sont déjà désabonnés d’une offre légale..

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Essentiel n°14

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Les 8-14 ans et les pratiques illicites : un enjeu parental.

L’étude qualitative menée en 2017 par l’Hadopi auprès des 8 à 14 ans a mis en évidence l’importance des pratiques en ligne dès le plus jeune âge et la nécessité pour l’Hadopi de s’y intéresser pour mieux comprendre leur évolution. Cette nouvelle étude, quantitative, montre que chez les plus jeunes, les pratiques culturelles en ligne restent très centrées sur YouTube. Elles se complexifient et se diversifient avec le temps, à mesure que l’enfant gagne en autonomie et en agilité.

La quasi-totalité des enfants de 8 à 14 ans ont des pratiques culturelles en ligne, qu’elles soient licites ou illicites (pour 13 % d’entre eux). L’entourage, et notamment les parents, ont un rôle de prescription majeur dans les sites utilisés par les enfants, y compris s’agissant de sites contrefaisants. Les enfants dont les parents ont recours à des pratiques illicites ont ainsi une probabilité trois fois plus élevée de s’y livrer eux mêmes, confirmant l’importance de s’adresser aux parents et aux enfants pour la promotion d’usages en ligne responsables.

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Essentiel n°13

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L'écosystème illicite de biens culturels dématérialisés : de nombreux acteurs, des liens multiples entre eux.

L’Hadopi a souhaité mettre à jour la cartographie de l’écosystème illicite, identifiée dans de précédents travaux réalisés en 2012. Cette nouvelle étude, réalisée par la société EY, vise à analyser en détail les interactions entre les différents acteurs de cet écosystème, au travers, notamment, de leurs modèles économiques. Cette cartographie actualisée révèlela complexité croissante de cet écosystème illicite. Si en 2012 hébergeurs et sites de référencement étaient au coeur du système, il apparait aujourd’hui que celui-ci s’étend largement au-delà de ces seuls acteurs.Pour être pleinement efficace, la lutte contre la piraterie devra désormais s’intéresser à ces autres acteurs, tels que les prestataires techniques ou les services aux internautes, entre autres, que cette étude identifie.

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Essentiel n°12

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Consommation culturelle en ligne des 15-24 ans : une propension à payer supérieure aux autres consommateurs !

Ultra-connectés à Internet, fortement consommateurs de biens culturels dématérialisés, les études d’usages récentes menées par l’Hadopi confirment les tendances déjà bien connues concernant les pratiques numériques des Digital natives. Leur rapport à la licéité et leur consommation révèlent un tableau plus complexe.

Très habile en ligne, la population des 15-24 ans se montre également très versatile dans ses usages culturels dématérialisés : gratuits et payants, licites et illicites, les jeunes internautes recourent à une variété de modes d’accès aux œuvres. Exigeants, ils évaluent le rapport coût / bénéfice des offres légales et acceptent de payer dès qu’ils en ont les moyens - souvent à partir de 20-22 ans -, pour accéder à des services par abonnement qu’ils estiment facilement accessibles et à forte valeur ajoutée.

 


Essentiel n°11

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Une offre légale qui séduit de plus en plus de consommateurs.

Dans le cadre de sa mission légale d'observation des usages licites et illicites, l'Hadopi publie deux baromètres annuels permettant de renseigner les indicateurs prévus par le décret n°2011-386 du 11 avril 2011 et de mesurer l'évolution des usages de biens culturels dématérialisés ainsi que les freins et motivations à ces pratiques.

 


Essentiel n°10

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Les 15-24 ans : un rapport paradoxal à la création, entre valorisation des "petits" artistes et rejet du "système".

Nés dans un monde numérique d’abondance et de gratuité, les 15-24 ans partagent une vision paradoxale du droit d’auteur – entre valorisation de la création et rejet de son système de financement – et assument le passage à une économie de l’attention où désormais le nombre de vues généré prime sur toute considération.

Au-delà d’un effet générationnel, souvent désigné par l’expression « digital natives », l’analyse des usages des jeunes de 15 à 24 ans fait apparaître une diversité de profils avec des pratiques culturelles en ligne qui varient, en fonction des étapes de vie et de l’âge, mais aussi du milieu social.

La sensibilisation des jeunes publics à l’importance du droit d’auteur et au respect de la création doit s’adapter, tant en termes de messages que de tonalités : le discours générationnel trouve ici ses limites.

  • Retrouvez « L’Essentiel » n°10 en cliquant ici.
  • Retrouvez l’étude complète sur le rapport paradoxal à la création des 15-24 ans en cliquant ici.

 


Essentiel n°9

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La mixité des usages licites et illicites au cœur des stratégies d'accès aux musiques, films et séries en ligne.
Les stratégies d'accès adoptées par les consommateurs de biens culturels dématérialisés répondent principalement à des attentes de gratuité, de choix et de simplicité d'accès. Si 39 % des consommateurs de musiques, films ou séries TV déclarent des usages illicites, deux consommateurs illicites sur trois adoptent des pratiques mixtes, à la fois licites et illicites. Les offres de streaming par abonnement semblent bien répondre à ces besoins de confort et de simplicité. Elles constituent une incitation importante à une consommation légale, notamment auprès des profils de consommateurs illicites occasionnels, qui considèrent le recours à l'illicite comme "complément" en cas d'indisponibilité de l'oeuvre.

Au-delà de parcours d’accès illicites relativement routiniers privilégiant le recours à des sites déjà connus, une multitude de modes d’accès illicites de niche se développent (en mobilité, sur les réseaux sociaux, etc.). Cette diversité des pratiques, tant en termes de licéité que de mode d’accès, appelle une pluralité d’actions pour la protection de la création.

 


Essentiel n°8

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Conversation en ligne et accès aux œuvres dématérialisés : l'internaute au cœur d'un réseau d'influence.
Sur Internet, l'accès aux contenus est un sujet d'échange majeur : plus d'un demi-million de posts et de publications y ont été consacrés en douze mois, dont plus de la moitié aux usages.

Si les sites illicites apparaissent comme les premiers émetteurs en termes de nombre de publications, les internautes eux-mêmes sont à l'initiative d'un volume important de conversations, notamment sur les forums et les réseaux sociaux, pour demander ou prodiguer des conseils, ou encore faire part de leur expérience des plateformes illégales, tant positive que négative.

A l'inverse, un certain nombre d'internautes eux (ex) usages illicites interviennent pour faire part de leur satisfaction à l'égard des plateformes légales et du confort qu'elles offrent, notamment au travers des formules d'abonnement.

 


Essentiel n°7

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Le développement de la consommation de biens culturels dématérialisés par l'accès multisupport : un levier de consommation légale ?
L’Hadopi consacre un nouveau numéro de L’Essentiel au passage d’une logique de possession à une logique d’accès aux œuvres, permise par les évolutions technologiques et au développement de pratiques d’accès multisupports comme levier de consommation légale, en s’appuyant sur l’étude qualitative menée avec l’institut Harris Interactive au printemps 2017 sur les pratiques d’accès multisupport aux œuvres dématérialisées.

 


 

Essentiel n°6

Essentiel n°6  

La diffusion de la bande dessinée numérique

A la suite de l'étude sur "les perceptions et les usages du livre numérique", réalisée en 2014, l'Hadopi a souhaité approfondir sa compréhension de l'impact de la numérisation du livre en étudiant plus spécifiquement le cas de la bande dessinée dite "franco-belge" et du manga dématérialisés. Cette étude vise à dresse un état des lieux de la diffusion légale des bandes dessinées et mangas dématérialisés en France.

 


Essentiel n°5

Essentiel n°5  

Rapport d'activité 2016-2017 : une équipe renouvelée et un budget consolidé pour engager l'institution vers de nouveaux chantiers

Christian Phéline, président de l’Hadopi, conjointement avec Dominique Guirimand, présidente de la Commission de protection des droits, a présenté le rapport d’activité 2016-2017 de la Haute Autorité le jeudi 30 novembre à la Maison de l’Amérique latine à Paris.

Remis au gouvernement et au Parlement en application de l’article L. 331-14 du code de la propriété intellectuelle, il rend compte des initiatives qui ont marqué l’année écoulée et formule des propositions soumises aux pouvoirs publics et aux acteurs de la vie culturelle afin de renforcer l’action contre toute forme de piratage.

 


Essentiel n°4

Essentiel n°3  

Zone Telechargement : le processus de réplication d'un site pirate

Dans le cadre de sa mission légale d'observation de l'utilisation licite et illicite des œuvres sur Internet, l'Hadopi a souhaité étudier comment le site Zone Telechargement a pu revenir en l'espace de quelques mois en position de leader sur la scène pirate francophone, en examinant en particulier comment et à quelle vitesse le remplaçant de zone-telechargement.com s'est développé, quels sont les contenus disponibles sur ce site et qui a contribué à ce retour fulgurant.

 


Essentiel n°3

Essentiel n°3

 

En 2017 la progression de la consommation de biens culturels dématérialisés s'accompagne d'une augmentation des pratiques mixtes, à la fois licites et illicites

Dans le cadre de sa mission légale d'observation des usages licites et illicites, l'Hadopi publie deux baromètres annuels permettant de renseigner les indicateurs prévus par le décret n°2011-386 du 11 avril 2011 et de mesurer l'évolution des usages de biens culturels dématérialisés ainsi que les freins et motivations à ces pratiques.

 


Essentiel n°2

Essentiel n°2

 

Consommation illicite d’œuvres culturelles dématérialisées : une exposition plus forte aux risques en ligne

Étude quantitative réalisée par l’Ifop, à partir d’un échantillon représentatif de 1021 internautes de 15 ans et plus et un sur-échantillon de 516 consommateurs de biens culturels dématérialisés aux usages illicites.

 


Essentiel n°1

Essentiel n°1

 

Les 8-14 ans : l'émergence d'une génération de « Smartphone Natives »

Étude qualitative menée en Île-de-France en novembre et décembre 2016 par l’institut June Marketing – MSM pour Hadopi.